L’aleph _ Jorge Luis Borges
Les présents récits placent dans des symétries abstraites presque vertigineuses, des images à la fois antinomiques et interchangeables de la mort et de l’immortalité, de la barbarie et de la civilisation, du Tout et de la partie.
Par là, ils illustrent la préoccupation essentielle d’un écrivain obsédé par les rapports du fini et de l’infini.
Ce recueil de nouvelles est ma première vraie lecture pour ma rentrée en DUT Métiers du livre Edition Librairie en année spéciale (si il y a des gens qui sont passés par là ou celui en deux ans, et qui veulent bien en discuter, contactez-moi).
Cette lecture a été pour moi très partagée. Sur les 17 nouvelles, il y en a quelques unes qui m’ont bien plu (comme L’immortel , Emma Zung ou L’écriture de Dieu), ces nouvelles là m’ont assez emportée et j’en ai aimé l’histoire. Certaines m’ont laissé assez indifférente (comme Deutsches Requiem ou Histoire du Guerrier et de la Captive), disons que je les ai lus sans trop forcer mais que ça ne m’a pas vraiment intéressé.
Par contre il y a quelques nouvelles que j’ai eues énormément de mal à lire ! ! Je citerai Les théologiens et La Quête d’Averroës tout particulièrement. Vous n’imaginez même pas à quel point j’ai pu galérer . . . Heureusement que ce n’était que des nouvelles et que du coup ce n’était pas trop long car vraiment. Je me suis beaucoup ennuyée, je les ai trouvés inintéressantes et je n’ai parfois carrément rien compris.
En bref : Lecture mitigée , des nouvelles m’ont plus et d’autres pas du tout.
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